Appel à témoignages de praticiens ou de patients qui pourraient confirmer de façon concrète au moins une des accusations de Jean-Yves Grall (ARS) contre le Dr Roux. Dans le cadre de leur quête de vérité les opérés du Dr Roux s'engagent à la publier sur ce site. Merci. hubertdechevigny@gmail.com (ndlr: 10 ans - 30.000 visiteurs - personne en mesure de confirmer ces accusations).

dimanche 21 décembre 2014

Le délibéré. La révocation était "partiale et illégale".


Le délibéré de la cour d'appel du tribunal administratif de Nancy est clair.

Il précise que, "sans qu'il soit besoin d'examiner les autres moyens" (qui justifieraient l'annulation de la révocation), la partialité dont a fait preuve "le rapporteur du conseil de discipline du CNG, constitue une irrégularité de nature à entacher la légalité de l'arrêté du 7 juin 2011 par lequel la directrice générale du CNG a révoqué M. Roux du corps des praticiens hospitaliers".

La cour d'appel ajoute que : "M. Roux est fondé à soutenir que c'est à tort que le tribunal administratif de Strasbourg à rejeté sa demande".

Et la cour d'appel de conclure par cette décision :

 "Le jugement du Tribunal administratif de Strasbourg du 3 juin 2013 et l'arrêté en date du 7 juin 2011 révoquant M. Roux du corps des praticiens hospitaliers sont annulés".

En pointant la "partialité et l'irrégularité" qui ont caractérisé cette affaire d'un bout à l'autre, la cour d'appel de Nancy, qui avait le choix "d'autres moyens", stigmatise l'acharnement dont le Dr Roux a été victime.

Rendu solennellement en séance plénière par 7 juges, ce jugement sans équivoque, puisque non seulement il annule la révocation mais refuse toute sanction intermédiaire, blanchit totalement le Dr Roux.
Le dossier était vide.


Hubert de Chevigny
Président des opérés du Dr Roux "Metz a du cœur"