Appel à témoignages de praticiens ou de patients qui pourraient confirmer de façon concrète au moins une des accusations de Jean-Yves Grall (ARS) contre le Dr Roux. Dans le cadre de leur quête de vérité les opérés du Dr Roux s'engagent à la publier sur ce site. Merci. hubertdechevigny@gmail.com (ndlr: 10 ans - 30.000 visiteurs - personne en mesure de confirmer ces accusations).

lundi 3 juin 2013

Presse, un rectificatif s'impose

Hier 2 juin 2013, et toujours à la veille d'une nouvelle échéance pour le Dr Roux, des nouvelles inutilement alarmantes dans la presse régionale ont jeté le discrédit sur le Dr Roux. Les patients du Dr Roux font ici la part du vrai et du faux.

Ce quotidien nous annonce que le Dr Roux "est loin d'être blanchi". Erreur
L'administration a demandé à pas moins de six instances différentes de sanctionner le Dr Roux. Toutes ont rejeté les accusations de l'administration et refusé de sanctionner le Dr Roux (ce qui a visiblement échappé à ce quotidien pourtant régulièrement informé par nos soins). Un parcours sans faute. Une telle unanimité de la part d'instances indépendantes, dont certaines présidées par des magistrats qui toutes blanchissent le Dr Roux, ne laisse plus place à l'ombre d'un doute. Que faudrait-il de plus ?
En titrant le Dr Roux "est loin d'être blanchi", ce journal laisse entendre qu'il resterait des zones d'ombre. Lesquelles ? A l'image de Mr Grall, directeur de l'ARS, les détracteurs systématiques du Dr Roux entretiennent un flou sur leurs accusations faute de pouvoir être factuels. Ce quotidien lance ainsi une fausse rumeur qui va alimenter la chronique, une fois de plus à la veille d'une nouvelle échéance pour le Dr Roux.

Ce quotidien nous parle à plusieurs reprises de "dépassements d'honoraires". Erreur

Le Dr Roux n'a jamais eu aucun problème d'honoraires. C'est la réalité.
Mr Grall avait en effet lancé une rumeur sur les honoraires du Dr Roux en conférence de presse: "de graves irrégularités", "des pratiques illégales", "des dépassements d'honoraires vertigineux", tout en promettant des preuves à venir.
Mais la Commission d'Activité Libérale (CAL), la direction du CHR et la CPAM ont démontré à Mr Grall qu'il n'y avait rien à reprocher au Dr Roux en matière d'honoraires. Au contraire, ils ont même signalé une générosité du Dr Roux envers ses patients les plus démunis, rare dans ce milieu.
La direction du CHR a jugé utile de préciser par écrit (14 janvier 2011)  qu'il n'y a jamais eu de plainte sur les honoraires du Dr Roux, même après les déclarations incitatives de Mr Grall dans les médias.
Mr Grall a alors demandé à ses propres enquêteurs de l'ARS de trouver une faille dans les honoraires du Dr Roux. Ceux-ci n'ont rien trouvé à reprocher au Dr Roux, et ce n'est pas faute d'avoir cherché.
Mr Grall résigné, a abandonné discrètement cette accusation qui n'a reparu nulle part dans les procédures. Il n'a pas fait d'excuses au Dr Roux et n'en a rien dit à la presse à laquelle il refuse tout commentaire.
Comment un quotidien peut-il aujourd'hui décider, de son propre chef, de relancer une rumeur fausse à 100% alors que son auteur même l'avait escamotée devant l'évidence des faits ?

Ce quotidien régional nous reparle de surmortalité. Erreur
Mr Grall dans ses conférences de presse contre le Dr Roux, s'est permis de parler de "mortalité effroyable" et  "d'opérations à haut risque".
Il a fallu attendre 6 mois et le travail du conseil de discipline du CNG (29 avril 2011) pour apprendre que les chiffres publiés par l'ARS avaient été tronqués. Le vrai taux de mortalité du service du Dr Roux n'était pas 3 fois supérieur à la moyenne nationale comme l'a proclamé Mr Grall lorsqu'il a fermé le service du Dr Roux, mais inférieur à la moyenne nationale depuis plus de 3 mois. Performance qui méritait d'être encouragée, surtout pour un service qui opérait des cas graves. Mr Grall (ARS) pourtant prolixe au départ a toujours refusé de s'en expliquer devant la presse.
Comment un journal d'information peut-il deux ans plus tard relancer gratuitement une fausse rumeur sur laquelle l'auteur lui-même refuse de s'expliquer, ce qui devrait lui paraitre suspect ?

Ce quotidien ouvre largement ses colonnes à Régine Mathieu. Sans précaution.
Régine Mathieu qui a monté une association de victimes du CHR lance régulièrement des attaques non étayées contre le Dr Roux dans ce quotidien qui lui ouvre ses colonnes sans réserve.
Voici ce que ce journal n'a jamais dit sur Régine Mathieu qu'il nous présente toujours comme une victime :
- Madame Régine Mathieu qui avait saisi la Commission de Recours et d'Indemnisation des Accidents Médicaux a été déboutée par un collège d'experts le 15 octobre 2008. Un deuxième collège d'experts l'a également débouté en contre-expertise le 6 décembre 2009. Tous deux concluent à "l'absence de lien entre une quelconque faute médicale et le décès" de son père. En clair, le Dr Roux n'a rien à voir de près ou de loin avec ce décès.
- Les parents de Régine Mathieu, contrairement à ce qu'elle laisse entendre, n'ont jamais eu à sortir un centime de leur poche pour être opéré dans le service du Dr Roux.
- Régine Mathieu a retiré en catimini sa plainte contre le Dr Roux qu'elle avait déposé devant l'ordre des médecins de Moselle le 30 octobre 2010, à grand bruit dans la presse.
- Par ailleurs, les accusations publiques, mettant en cause le Dr Roux, qu'elle a tenu dans la presse ont conduit à la condamnation d'un quotidien en diffamation par la 17ème chambre correctionnelle de Paris, le 8 novembre 2008.
- Parmi les pièces présentées aux différentes instances, Il existe trois échanges de courriers entre Régine Mathieu et Mr Grall, datés des 27octobre, 30 octobre et 2 novembre 2010 qui montrent noir sur blanc que c'est à la demande express de monsieur Grall que Régine Mathieu a déposé plainte contre le Dr Roux le 30 octobre 2010.
Les faits nous montrent que Régine Mathieu est en fait une victime de Mr Grall et non du Dr Roux.
Comment un journal d'information peut-il porter tant de crédit aux propos non étayés de Régine Mathieu sans prendre de précautions élémentaires ?

Ce quotidien privilégie la rumeur aux faits
Parallèlement comment ce même journal peut-il se permettre d'occulter le travail des opérés du Dr Roux qui, depuis près de 3 ans, enquêtent dans la transparence sur cette affaire, faisant régulièrement progresser la vérité (voire les différents documents de ce site) ?
Comment expliquer cette défiance systématique à l'égard de la vérité pour privilégier la rumeur, malgré la pertinence des documents exhumés par cette enquête ? Une démarche d'investigation plus professionnelle, n'est-ce pas ce qu'attendent les Lorrains de leur quotidien d'information ?

Hubert de Chevigny
président des opérés du Dr Roux